garage]]> arcade]]> surélévation]]> néo-mauresque (style)]]>
En ce sens, la place occupée par l’automobile est bien le symbole d’une ville nouvelle qui opte résolument pour la modernité.

Sous les arcades de l’avenue Hassan II, le grand hall d’exposition polygonal était surmonté d’une coupole de pavés de verre.

A l’origine, le bâtiment – partie bureaux, partie garages – occupait une surface de 14 000 m2. Les plateaux de parking à la structure en béton , de plus de 16 m de portée, sont l’œuvre de Georges Gillet, alors représentant de l’entreprise Coignet, spécialiste de la construction en béton armé.

Charles Ravazé était l’architecte de Citroën qui avait confié, deux ans auparavant, l’édification de son garage, aujourd’hui démoli, à Albert Laprade, rue Marbeuf à Paris.

La surélévation des années 40 de trois niveaux homothétiques par Balois et Hinnen a provoqué l’indignation d’Edmond Brion, auteur de la banque du Maroc, située à côté.]]>