http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_Zevaco]]> http://archiwebture.citechaillot.fr/awt/fonds.html?base=fa&id=FRAPN02_ZEVJE_fonds-771]]> http://www.frac-centre.fr/public/collecti/artistes/zevaco/noti01fr.htm]]> http://fr.wikipedia.org/wiki/Sp%C3%A9cial:Citer/Shadrach_Woods]]> hôtel de ville]]> campanile]]> art déco (style)]]> néo-mauresque (style)]]> horloge]]> hôtel de ville]]> galerie]]> patio]]> colonnade]]> art déco (style)]]> hôtel de ville]]> patio]]> colonne]]> jardin]]> zellige]]> hôtel de ville]]> art déco (style)]]> art nouveau (style)]]> campanile]]> place]]> jardin]]>
Crédit photo : Photo Marcelin Flandrin, début des années, extraite à titre de citation de l'ouvrage de Marcelin Flandrin, "Casablanca de 1889 à nos jours", Editions photographiques Mars, Casablanca, 1928.]]>
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En 1927, Boyer remporte le concours de l’hôtel de ville, achevé en 1937.

Le corps principal du bâtiment signalé, par le campanile de l’horloge, est constitué d’une colonnade, sobre et stricte, abritant l’entrée, surmontée d’un large balcon à arcades et de trois ouvertures monumentales encadrées de pierre.

A l’intérieur, sur deux niveaux, une galerie entoure trois grands patios plantés, desservant les services publics. Elle est doublée, sur les façades, par une circulation couverte, qui permet la liaison directe entre les bureaux.

Répondant aux codes imposés par la résidence, Boyer mélange les styles : l’art-déco, dans le hall et le double escalier d’honneur aux paliers ornés de deux toiles de Majorelle, le néo-marocain avec les arcades, les tuiles vertes et les zellijs de la façade, des lambris des circulations, de la salle des fêtes et des colonnes des patios.

Le résultat est un joyau de cette architecture néo-chérifienne caractéristique des bâtiments administratifs du Maroc sous protectorat.]]>
banque]]> néo-mauresque (style)]]> patio]]> arcade]]> zellige]]> colonne]]>
L’immeuble composé d’un rez-de-chaussée et de trois niveaux de bureaux, était articulé autrefois autour d’un patio - aujourd’hui refermé - surmonté d’une verrière, permettant une communication visuelle entre les plateaux.

Sous le signal surélevé, les arcades surdimensionnées ménagent un hall extérieur monumental donnant accès au bâtiment sur l’angle.

La sobriété du traitement général des façades, la grande frise de zelliges en camaïeu bleu dont les motifs abstraits font référence aux arts traditionnels du tapis, et le couronnement de tuiles vertes permettent de ranger cet immeuble dans le style néo-marocain mis au point sur les directives de Lyautey.

Les marbres originaux du soubassement et des colonnes du rez de chaussée ont été récemment remplacés par du granit rouge. ]]>
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Avec talent, Marius Boyer mélange ici les genres : méditerranéen pour les tourelles terminées en miradors, Art-Déco des motifs de pierre sur les facettes des cages d’escalier, néo marocain pour les rangées de zellijs et les toits de tuiles vertes.

Ces maisons jumelles ont été construites pour deux entrepreneurs associés : Gouvernet et Lorentz. Actuellement, l’ensemble, transformé en musée il y a dix ans, est laissé à l’abandon.

Il est un des derniers témoignages des villas construites par Boyer dans le quartier, après la disparition de la villa Benazeraf, rue d’Alger, remplacée par la galerie Actua, et la destruction récente, avenue Moulay Hassan Ier, de la villa Houel.

"Les Tourelles" sont inscrites à l’inventaire des monuments historiques.]]>