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Crédit photo : Tous droits réservés, L'évolution du Maroc en 1951, 1951, photo extraite à titre de citation de l'ouvrage de Jean-Louis Cohen et Monique Eleb, "Casablanca, mythes et figures d'une aventure urbaine", Hazan, Paris, 1998, p. 429.]]>
aérogare]]> moderne (style)]]> terrasse]]> pilotis]]> tour de contrôle]]>
Crédit photo : Photo Jean-Louis Cohen, 1998, extraite à titre de citation de l'ouvrage de Jean-Louis Cohen et Monique Eleb, "Casablanca, mythes et figures d'une aventure urbaine", Hazan, Paris, 1998, p. 429.]]>
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Huit escaliers et ascenseurs desservent, sur six étages, 156 appartements allant du studio aux cinq pièces. Les halls d'entrée ornés de panneaux de miroirs, les circulations verticales, les paliers, de dimensions généreuses, sont traités avec une grande sobriété, sans aucune ornementation.

Dans la cour triangulaire, une galerie marchande permet la circulation entre les trois voies bordant l'îlot. Des loggias se creusent en façade, derrière les bandeaux lisses qui enveloppent l'ensemble.

Dotés de cheminées et de volumes spacieux, ces logements à "moyen loyer", bénéficient d'un confort alors semblable à celui des immeubles de "luxe" contemporains.

Parmi les édifices art-déco et néo-classique dominant le boulevard Mohammed-V, Desmet introduit, avec harmonie, dès le début des années 30, ce style résolument moderne, fonctionnaliste.]]>
villa]]> balcon]]> porte-à-faux]]> piscine]]> moderne (style)]]>
Conçue à partir d’un bloc rectangulaire de pierres brunes, elle est enveloppée à l’étage par un spectaculaire balcon aux lignes incurvées dont les porte-à-faux atteignent sept mètres d’envergure aux angles.

La qualité de serrureries, châssis guillotine des salons, porte-fenêtre monumentale et grilles, est due aux Ateliers Vincent Timsit. Le hall, au sol de marbre noir de Belgique, dessert les pièces de réception par des cloisons coulissantes de verre trempé. En son centre, comme une sculpture, la première volée de l’escalier menant à l’étage est encadrée de garde-corps de verre maintenus par des pièces de bronze.

La reconversion de la villa en un élégant restaurant-salon de thé (Pâtisserie Paul) a entraîné l’adjonction de deux espaces vitrés sous les balcons, et le nivellement du jardin initialement incliné en pente douce vers une piscine en demi-cercle.

Photo Jean-Louis Cohen]]>
villa]]> moderne (style)]]> terrasse]]> claustra]]>
Sur la façade est, les portes fenêtres sont les seules ouvertures. La courbe du living-room à rez-de-chaussée, soulignée par un bandeau lisse, répond aux formes libres de la couverture partielle de la terrasse accessible, introduisant une rupture dans la composition cubiste de l’ensemble.

Les propriétaires y ont installé des bureaux, longtemps occupés par le Ministère de l’Intérieur. La petite histoire raconte que les époux Rosilio n’auraient jamais habité leur maison et qu’elle serait même la cause de leur divorce…]]>
villa]]> patio]]> moderne (style)]]> pilotis]]>
Située au sommet de la colline d’Anfa, elle jouit d’un panorama exceptionnel sur l’océan grâce à une façade circulaire entièrement vitrée protégée de stores à lamelles horizontales.

Construite sur de minces pilotis, elle semble flotter au-dessus du jardin.

L’intérieur au cloisonnement minimal, s’organise autour d’un patio circulaire. Une vasque étirée, posée devant l’entrée, confirme les références formelles de l’époque : l’architecture de Niemeyer au Brésil et l’iconographie des bandes dessinées des années 60.

Le mur de clôture, bas, en pierres brutes rappelle ceux de la région des Doukkalas séparant les champs.

Cédée récemment par ses propriétaires, sa vocation serait heureusement culturelle.

Actif à Casa jusqu’en 1975, W. Ewerth est essentiellement l’auteur de villas dont celle de Serge Varsano, en 1954, à l’esthétique californienne. Située à Sidi Maarouf, elle est malheureusement invisible depuis la route.]]>
cité]]> logement]]> moderne (style)]]>
Les premiers immeubles sont d’Erwin Hinnen. Les habitations individuelles occupent une trame de 8x 8. Les deux barres et le petit immeuble de Hentsch et Studer renouvellent le concept de logements à patios superposés, inauguré par l’équipe ATBAT-Afrique aux Carrières Centrales dans les immeubles « Sémiramis » et « Nid d’abeilles ».

Moins médiatisés que ceux des Carrières Centrales, ils ont cependant mieux supporté l’épreuve du temps et des transformations des habitants. Cela tient à la trame des appartements orientée à 45° par rapport à l’axe général de la barre et à la difficulté en conséquence de fermer les décrochements des patios de 7.20 par 3m, dont une partie est découverte.

L’ensemble regroupe 200 appartements du 2 au 4 pièces.]]>
cité]]> logement]]> moderne (style)]]> marché]]> garderie]]>
On y reconnaît l’écriture sobre d’Alexandre Courtois. Les différents programmes (400 logements et 33 villas) qui vont des studios pour célibataires aux appartements de cinq pièces, se déclinent en immeubles de R+4 à R+1 jusqu’aux villas au sud de la parcelle.

La qualité de l’opération réside dans les surfaces généreuses des appartements et des espaces verts entre les immeubles, plantés de pins et d’eucalyptus, où l’on trouve des équipements tels que le marché circulaire, une garderie et les boxes regroupés des garages. ]]>
bâtiment technique]]> hublot]]> moderne (style)]]>
La Lydec (gérant de la distribution de l’eau et l’électricité à Casa) entretient soigneusement ce petit bâtiment ainsi que le square qui l’entoure.

Robert Maddalena est aussi l’auteur, avec Raymond Lucaud, de la Foire Internationale de Casablanca en 1951, boulevard de Tiznit.]]>